Réponse de Vivara aux attaques répétées de Blast

A Vivara, nous aimons l’information libre, les enquêtes, les personnes qui osent dire ce que les puissants préféreraient cacher. C’est ce qui nous anime, fait notre marque de fabrique et la reconnaissance grandissante de nos abonnés, sociétaires et lecteurs. Nous avons aussi l’habitude de l’adversité - elle va avec notre conception du métier et notre fonction.


Mais les attaques dont nous sommes la cible de la part du site Blast, sont d’une violence inédite. Elles resteront dans les annales de la profession comme la plus belle leçon de ce qu’il ne faut pas faire quand on se prétend journaliste.


Nous avons donc décortiqué deux longs articles. Nous avons compté (en en oubliant sans doute) 124 assertions à nos yeux diffamatoires, injurieuses ou mensongères. L’affaire est, à nos yeux, grave, et notre préjudice important.


Nous sommes plusieurs à Vivara à avoir été harcelés pendant des mois dans nos vies privées par le journaliste Moran Kerinec, qui prétendait vouloir nous interroger sur le fonctionnement de Vivara. Celui-ci n’a intégré qu’une infime partie de nos réponses dans les articles. Sa religion était faite avant de nous rencontrer. Le type d’enquête qu’il a déclenchée ne peut pas se faire uniquement dans un fauteuil, sur Google et sur les réseaux sociaux. Les enjeux humains et professionnels sont trop lourds.


Cette "enquête" en deux volets est une caricature comme nous n'en avions jamais lue, un contre-exemple sidérant de ce que les tribunaux condamnent de façon constante : aucun équilibre, une thèse poussée quoi qu'il en coûte, un parti pris systématique pour (nous) disqualifier. Mais voici les faits :


Arrêtons-nous à ce stade pour une précision importante.


Le texte ci-dessus n’est pas de nous à l’origine.


Il s’agit d’une simple adaptation, en changeant les noms, du droit de réponse que la direction de Blast a adressé à l’équipe d’Arrêt Sur Image, suite à une enquête à charge publiée à leur sujet au cours du mois de juin 2023. (Voir : https://www.arretsurimages.net/articles/droits-de-reponse-suite-a-notre-enquete-sur-blast)


Il est en effet édifiant de constater que l’équipe de Blast se plaigne de cette façon des méthodes d’Arrêt sur Image.


En effet, tout ce qu’elle reproche à Arrêt sur Image, nous pouvons le lui reprocher également. Les méthodes de Blast sont exactement les mêmes. Les journalistes de Blast qui osent se plaindre de cette façon s’en rendent-ils seulement compte ? Est-ce un type de pathologie mentale, de dissociation schizophrénique de la personnalité ? Ou est-ce seulement de la mauvaise foi crasse ?


Ce n’est pas clair, et il ne nous appartient pas d’en juger de toutes façons.


Cette situation tragi-comique rappelle en tout cas les scènes décrites par Alexandre Soljenitsyne dans “L’Archipel du Goulag”, où de hauts dignitaires staliniens qui se trouvaient à leur tour victimes de purges, se lançaient dans de vibrants plaidoyers pour se défendre, sans manifestement s’apercevoir que les méthodes “staliniennes” pour justifier de leur élimination, étaient exactement les mêmes que celles qu’ils avaient pratiquées tout au long de leur carrière de persécuteurs.


Un pur trouve toujours un plus pur qui l’épure”, a dit fameusement Ernest Picard.


On s’étonne que la direction de Blast, qui s’affirme concernée par le débat politique et revendique une connaissance approfondie de sa propre famille politique, ne semble pas avoir réalisé qu’elle se trouvait aujourd’hui, dans son conflit avec Arrêt sur Images, dans une situation bien connue et parfaitement documentée par les historiens du totalitarisme : enquête à charge, fausse objectivité, conclusions du procès rédigées par l’accusation, sélection des preuves, mépris absolu des droits de la défense, confusion entre opinion et jugement, délation, témoignages anonymes, etc.


L’occasion qu’ils nous offrent de reprendre leurs propres arguments pour notre défense est donc trop belle pour la laisser de côté. Nous allons continuer notre propre explication en suivant leur trame, et la nature exacte de leurs arguments.


En plus de nous économiser beaucoup de travail et de réflexion, cette méthode a l’avantage de nous épargner de futurs échanges stériles avec eux. Nous ne nous attendons pas, en effet, à la moindre reconnaissance de turpitude de leur part. Nous savons que leur seule réaction possible est de redoubler de mauvaise foi, renouveler leurs attaques, maintenir toutes leurs accusations, aussi délirantes soient-elles, car tout début de remise en question de leurs méthodes, de leur approche, toute distance critique vis-à-vis de l’idéologie qui les aveugle, entraînerait un risque d’effondrement et de débandade qu’ils ne peuvent pas se permettre de courir : leur système entier est comparable à une association de malfaiteurs qui auraient juré de se couvrir mutuellement quoi qu’il arrive. Il suffit qu’un seul commence à douter pour que les tromperies de toute la bande éclatent au grand jour. Celui qui doute devient donc immédiatement un traître qu’il faut éliminer.


Quand on a fondé toute sa vie sur le mensonge, il faut en effet, à tout prix, continuer à mentir.


Mais au moins éviteront-ils de nous faire perdre plus de temps en attaquant, aussi, la forme de notre réponse. Car cette forme, ce sera la leur. Reprenons donc la trame de la défense de Blast, et continuons à l’appliquer à Vivara

Voici les faits

Vivara existe depuis plus de dix ans et nous comptons plus de trois millions de lecteurs francophones, abonnés à nos différentes newsletters, ainsi que plus de 300 000 abonnés payants à nos revues et programmes vidéos.


Parti de zéro, notre groupe compte désormais plus de quinze sociétés actives dans des domaines aussi variés que la santé naturelle, le conseil en stratégie immobilière, l’économie, ou encore la permaculture, l’autonomie, etc. Ces sociétés comptent entre trois et vingt collaborateurs chacune, pour la très grande majorité en contrat permanent (CDI).


Par ailleurs, nous travaillons avec de très nombreux contributeurs externes, qu’ils soient auteurs, journalistes, graphistes, monteurs vidéos, ou encore agents de relation clients. Tous les salaires de ces contributeurs sont payés toutes les fins de mois en même temps que les salariés permanents.


Au total, aujourd'hui, ce sont plus de cinq cents personnes qui font vivre nos médias.


La plupart des contrats sont conclus pour une durée hebdomadaire de 40 heures (durée de travail classique en Suisse - et non 45 heures comme l'affirme Blast). Chacun est libre d'organiser son temps de travail comme il l'entend, il n'y pas d'horaire collectif. On arrive vers 8h30 - 9h et à 19 h au plus tard, on éteint les lumières. Entre-temps, chacun prend les pauses qu'il veut. Les temps sont suivis pour vérifier qu’ils sont exécutés, et non dépassés, ainsi que l’exige la loi. Nos salariés apprécient la liberté de travail qui leur est offerte. Nous sommes opposés à l’institutionnalisation du télétravail, incompatible avec nos activités créatives ; en revanche, nous sommes très flexibles quant au recours au télétravail, dès qu’une situation personnelle le justifie (comme une livraison à la maison, un problème de garde d’enfant, un rendez-vous personnel à proximité du domicile, etc.). 


Nous avons des locaux modernes et lumineux au cœur de Lausanne, offrant en moyenne 16 m2 par salarié, sans compter les nombreux espaces de réunion et de détente : un grand atrium de 450 m2 avec vue sur le lac ; une salle de ping-pong ; un studio de yoga ; un grand studio de musique en libre accès, avec un piano, et la mise à disposition de professeurs du conservatoire de musique subventionnés par le groupe ; un accès à une salle de sport à proximité avec des tarifs préférentiels et subventionnés pour les collaborateurs ; une grande terrasse découverte avec la vue surplombant le lac où nos équipes font régulièrement des barbecues.


Le salaire annuel moyen chez Vivara ressort à plus de 85’000 CHF (ce qui est très supérieur au salaire moyen en Suisse). Dans l’intégralité du groupe, on dénombre seulement 9 stagiaires, rémunérés en moyenne 24’925 CHF, hors primes. Le salaire médian dans le groupe, stagiaires compris, ressort à 74’000 CHF, hors primes. Les primes représentent chaque année, en moyenne, entre 5 et 10% de la rémunération fixe. Les entretiens annuels sont réalisés chaque année au mois de janvier ; les primes sont annoncées et réglées avec le salaire de janvier.


En octobre 2023, en partenariat avec l'inspection du travail de Lausanne, nous avons fait réaliser par un tiers externe indépendant (la Clinique du Travail) un audit des conditions psychosociales au sein de notre plus importante filiale. Plus de 150 questions ont été posées à l'intégralité des collaborateurs, dans un questionnaire de 7 pages communiqué sous enveloppe réponse, l'anonymat étant ainsi absolument garanti :

Sur ce diagramme, la médiane sur un panel de 2800 témoignages / 120 entreprises (en Suisse romande) est marquée d'un trait gris. Le cartouche de couleur grise contient 50% des entreprises. Nos notes, en rouge, sont bien au-dessus de la médiane et, dans 8 catégories sur 9, dans les 25% des Top Performers.


On est donc à des années-lumière des brutalités, cadences infernales et management toxique inventés par les journalistes de Blast.


Nous sommes une entreprise comptant de nombreuses jeunes personnes, dont beaucoup de Français cherchant l’occasion d’une expérience professionnelle à l’étranger, pour des durées parfois courtes. De plus, le marché du travail en Suisse étant très tendu, avec un chômage inexistant, il est très simple pour n’importe quelle personne étrangère ayant obtenu, grâce à Vivara, un permis de travail en Suisse, de trouver un emploi dans une autre société locale, surtout avec les savoir-faire très demandés acquis dans nos équipes. Nous n’avons pas connaissance d’un seul salarié désireux de travailler et resté au chômage de longue durée après avoir quitté notre entreprise.


Le turnover, l’exploitation d’une main d’œuvre étrangère jeune et ignorante de ses droits, et le limogeage des salariés à Vivara est donc un pur fantasme.


Incompétence ET mauvaise foi

Moran Kerinec
Photo : © Blast

S’ils sont émaillés d’erreurs très factuelles que nous pourrions attribuer à l’incompétence et au manque de travail de leur auteur, les articles de Moran Kerinec sont, malheureusement aussi, d’une mauvaise foi déconcertante.



Sources contestables


L’auteur prétend avoir rassemblé de nombreux témoignages, laissant entendre qu’ils se recouperaient et permettraient de dresser un portrait objectif de Vivara. Mais il se garde bien de préciser les liens professionnels et amicaux qui unissent ses sources.


En effet : tous ces détracteurs, qui se croient commodément protégés par le “secret des sources”, ont en réalité conservé des contacts réguliers avec des collaborateurs de Vivara, ne pouvant s’empêcher de se vanter de leurs échanges avec Blast, et de dévoiler leurs motivations pour nuire à Vivara. Les “sources”, tout comme les propos qu'elles tiennent, sont donc bien connus des collaborateurs et managers de Vivara.

Les motifs de griefs que les sources de Moran Kerinec ont contre le groupe varient d’un individu à l’autre ; ils relèvent, sans originalité, de tensions malheureusement fréquentes sur un lieu de travail, et hélas délicates à gérer dans des entreprises en forte croissance comme les nôtres : vexation de n’avoir pas eu une prime à la hauteur de ses attentes ; tensions suite à un refus de télétravail ; sentiment d’injustice de n’avoir pas les mêmes avantages qu’un voisin de poste de travail ; refus de promotion ; vexation de n’avoir pas été suffisamment écoutée dans une procédure RH ; etc. A cela se sont superposées les discussions, parfois jusque tard le soir, entre collègues, copains et copines, dans certains bars bien identifiés de Lausanne.


Voilà, pour résumer, la matière sur la base de laquelle Moran Kerinec a fait son travail. Comment ce journaliste peut-il justifier d’un travail d’investigation, alors qu’il n’a fait qu’accueillir les propos d'anciens collaborateurs mécontents ? Moran Kerinec n’a même jamais pris la peine de venir à Lausanne, tout le temps de son “enquête”.


N’étant pas à une contradiction près, une majorité des sources de Moran Kerinec, après lui avoir exposé les prétendues dérives de notre modèle d’affaires, sont parties travailler… à la concurrence, à Lausanne, dans des sociétés créées historiquement à l’initiative de Vivara et pratiquant exactement le même métier. Pour ajouter à l'absurdité, certains de ces collaborateurs, sources de Kerinec, ont précisément été licenciés par Vivara parce qu’ils n’observaient pas les règles d'éthique et de conformité juridique de notre groupe.



Propos mensongers construits de toutes pièces


Aussi stupéfiant que cela puisse paraître, Moran Kerinec se permet de faire une compilation des avis Internet (Trustpilot, Glassdoor) les plus calamiteux, en les faisant passer comme représentatifs des sociétés de Vivara, et en passant sous silence la grande majorité d’avis positifs postés par nos clients. Par exemple, M. Kerinec a réalisé une infographie rassemblant exclusivement des avis Trustpilot négatifs concernant les éditions Totale Santé - en omettant de préciser que plus de 90% des avis étaient positifs (4 ou 5 étoiles).


Truquer ainsi les statistiques revient à tromper intentionnellement les lecteurs de Blast, et à abuser de leur crédulité.


Décontenancé par ces pratiques, un manager de Vivara a interpellé Moran Kerinec, qui lui a répondu… par une question : “Employez-vous des personnes pour rédiger de faux avis en faveur de vos publications ?”.


Kerinec ne dévie pas d’un cil, et continue d’appuyer une narration construite de toutes pièces (celle des capitalistes sans foi ni loi abusant de la crédulité d’une clientèle en souffrance). S’il nous manquait des preuves que M. Kerinec n’était pas dans une démarche de recherche de vérité, mais se contentait de ressasser les vieilles antiennes d’une presse-torchon d’extrême-gauche : désormais, nous les avons.


Que 90% des clients de Vivara soient “satisfaits” ou “très satisfaits” des contenus qu’ils reçoivent, cela ne peut coller avec les conclusions de l’article : cette réalité, aux yeux de Kerinec, est donc nécessairement contrefaite. A partir de là, notre parole n’ayant aucune valeur, tout échange avec le journaliste devient impossible.



Mensonges par omission


Moran Kerinec passe sous silence toutes réalités objectives qui ne vont pas dans le sens de ses propos incriminants.


A aucun moment Moran Kerinec ne parle des publications des différentes sociétés de Vivara, que des managers contactés par lui ont pourtant pris la peine de lui envoyer. Celles-ci se distinguent objectivement par la richesse des contenus et la qualité des contributeurs. La majorité des lecteurs restent abonnés plusieurs années durant (là encore, Kerinec nie cette réalité, invoquant notamment de prétendues difficultés à se désabonner).


A aucun moment il n’est fait mention des conditions générales de vente des sociétés du groupe Vivara. Toutes ces sociétés proposent en effet des conditions arrangeantes qui vont bien au-delà des minima imposés par la législation française. Typiquement, pour une revue mensuelle souscrite dans le cadre d’un abonnement annuel, tout client a la capacité de résilier sans frais à tout moment de l’abonnement, et se voit rembourser 100% de la souscription pendant les 3 premiers mois (ayant ainsi bénéficié de 3 mois entièrement gratuits) ; au-delà de 3 mois, les clients peuvent résilier à tout moment et se voir remboursés au prorata des mois restants. Peu de maisons d’éditions proposent des conditions de résiliation aussi généreuses - et d’ailleurs, risquées pour leurs équilibres financiers.

Allégations infondées

Lutter pied à pied contre les allégations de Blast, c'est de toutes façons leur faire trop d'honneur. Ce journal appartient à la presse de divertissement qui sert de défouloir à des gens aigris. Pourtant, nous relevons que des journalistes travaillant pour des rédactions a priori plus sérieuses continuent d'appeler les journalistes de Blast leurs "confrères" (supposant qu'on peut donner du crédit à leurs propos). C'est pour eux que nous développons nos réponses.

Il serait par trop fastidieux de relever toutes les allégations infondées dans les propos de Blast ; aussi citons-nous celles qui nous ont le plus choqués :


Blast accuse Vivara, ses sociétés, ses dirigeants et ses collaborateurs de “se cacher en Suisse”.


C’est faux. Vivara occupe des locaux en plein centre de Lausanne, au vu et au su de chacun, et elle ne s’en cache pas. Par ailleurs, Vivara n’a jamais existé qu’en Suisse ! Vivara a grandi en Suisse.


Oui, certains de ses managers ne sont pas suisses - et pour eux, on peut parler d’un “choix” personnel en faveur de la Suisse : le choix d’un pays dans lequel sont cultivées les valeurs de liberté d’entreprendre, de paix et de justice. Le cadre politique, économique et administratif y est favorable et l’esprit entrepreneurial y est encouragé. Mais leur implantation en Suisse, motivée par des raisons autant personnelles et familiales que professionnelles, est antérieure au développement économique de Vivara. Dire que Vivara est venue se “cacher en Suisse” ne fait aucun sens.



Blast accuse Vivara d’utiliser des “méthodes flirtant avec les dérives sectaires”, incitant ses lecteurs à “arrêter leur traitement” en prétextant “l’inutilité des traitements conventionnels”.


C’est évidemment faux. Si tel était le cas, nous serions évidemment en prison, vu les enjeux de santé publique.


Les sociétés de Vivara ont à cœur de responsabiliser leurs lecteurs, et non les infantiliser. Dans le domaine de la santé, les solutions proposées sont complémentaires, et non en substitution, des solutions de la médecine allopathique.


Ce que répondrait à Blast le manager d’une de nos filiales Santé ? La santé est un capital trop précieux pour en déléguer l’entière “gestion” à des tiers, aussi capables qu’ils soient. Vivara soutient que chacun devrait s’intéresser à sa propre santé, se documenter, comprendre, et mettre en place des solutions complémentaires aux préconisations de la médecine allopathique.


Chacun a le droit d’être un acteur de sa propre santé. Être acteur de sa propre santé, cela passe par l’information, la nutrition, l’hygiène de vie et un rôle actif lorsqu’un traitement ou une intervention médicale sont proposées. Certaines pratiques (respiration, supplémentation en vitamines, plantes ou minéraux, yoga, adaptation de régime alimentaire) peuvent avoir un effet bénéfique sur la santé, en complément des traitements proposés par la médecine occidentale moderne.


Les accusations particulièrement graves de Blast sont donc fausses, et nous les contestons vigoureusement. Les propos tenus par les sociétés du groupe n’ont rien de sectaire et mettent systématiquement en avant la nécessité pour chacun de se renseigner sur les sujets de santé de la manière la plus complète possible.




Blast accuse Vivara d’avoir choisi de s’installer en Suisse pour “contourner les lois européennes soucieuses de protéger les consommateurs”.


C’est faux, et ça n’a aucun sens, car les lois en question s’appliquent.


Les lois européennes ou françaises, comme par exemple le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) européen ou le Code de la Consommation français, s’appliquent à Vivara dans la mesure où ses clients y résident (respectivement en Europe, ou spécifiquement en France).


La Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL) et la Direction Générale de la Concurrence, Consommation et Répression des Fraudes (DGCCRF), la Direction Générale des Douanes, la Direction Générale des Finances Publiques, entre autres, ont un “droit de regard” sur les activités de Vivara et de ses filiales, qui se conforment à toutes leurs prescriptions.


Moran Kerinec ne peut l’ignorer, un tel discours relève donc, manifestement, de la mauvaise foi. Il passe également sous silence le fait que ni Vivara, ni ses dirigeants, n’ont jamais été condamnés par la justice française - non plus que la justice suisse d’ailleurs. Peut-on sérieusement penser qu’un groupe de notre taille échapperait à toutes condamnations s’il violait régulièrement les lois et les règlements de France, d’Europe ou de Suisse?



Blast accuse Vivara d’utiliser le paiement en “One-Click” qui serait illégal en France.


C’est faux, et tout le monde le sait. Cette méthode de paiement facilité n’est en rien illégale. Elle est au contraire courante. Et d'ailleurs, la majorité de nos clients non seulement ne s'en plaignent pas... mais nous la réclament, tant il est fastidieux de re-remplir ses coordonnées de paiement sur internet, notamment sur mobile.


Amazon, la Fnac, et tant d’autres sites e-commerce, la proposent à leurs clients français depuis de nombreuses années. La plupart des prestataires de paiement (Lyra, Stripe ou encore la banque Société Générale, et tant d'autres) proposent son intégration sur les sites e-commerce.


Vivara propose ce moyen de paiement avec plus de précautions que la plupart des autres acteurs qui l'utilisent : en l’accompagnant systématiquement d’une double validation ("2-click" abusivement désigné comme du 1-click) et d’un bouton sur la page de confirmation permettant l’annulation immédiate et gratuite de la commande, au cas où le client s'est trompé, ou a simplement changé d'avis et ne souhaite plus commander. Des protections que la loi n'impose pas, et qui ne sont pas proposées par tous les e-commerces offrant le paiement facilité. 


Une fois de plus, par un procédé malhonnête, Blast sélectionne une poignée d'avis TrustPilot de clients mécontents et laisse entendre qu’ils sont représentatifs... alors même que les notes TrustPilot, basées sur l’ensemble des avis clients récoltés (des milliers), de manière indépendante et transparente par TrustPilot, sont supérieures à 4.6/5, avec plus de 90% d’avis 4 ou 5 étoiles.




Blast accuse Vivara de publier des lettres “aux accents complotistes”, et plus loin de “d’utiliser le drame comme filon commercial”.


Nous sommes choqués que Blast se permette un tel reproche (de dramatisation et de complotisme), lorsqu’on voit de quoi leurs journalistes sont coutumiers sur leur site. Voici un florilège de titres d’articles publiés récemment par Blast : 


Vivara s’efforce évidemment de mettre en valeur les informations qu’elle diffuse en les ancrant dans l’actualité de ses lecteurs, et du monde en général, de concevoir des titres à la fois accrocheurs et instructifs, dans le respect de ses lecteurs et du travail de ses rédacteurs.


Quant à l’accusation de complotisme, elle est évidemment sans fondement, ne visant qu’à entacher le sérieux du travail de Vivara, qui cherche à mettre à la disposition de ses lecteurs des informations libres, indépendantes et sourcées sur les thématiques de la santé, de l’économie et de l’immobilier ou encore de l’autonomie. Les lettres et les magazines édités par les filiales de Vivara proposent une vision du monde régulièrement en décalage avec ce que publient les médias généralistes dits “mainstream”, sur des sujets comme la vaccination, les politiques monétaires ou encore le jardinage. Cependant, quel que soit le sujet, Vivara et ses filiales proposent leur vision dans le respect de la législation, de leurs lecteurs, en citant leurs sources à l’appui de leurs arguments. En somme, Vivara s’efforce de faire avec sérieux le travail d’information que tout média digne de ce nom devrait réaliser.


Blast peut-il se prévaloir d’un travail aussi sérieux dans tous ses articles ?



Blast accuse Vivara de chercher à “appâter et ferrer toujours plus de lecteurs” et à “piéger ses lecteurs”


Cette accusation est ridicule. Comme tout groupe de média, Vivara cherche naturellement à élargir son lectorat et proposer ses informations au plus grand nombre. Personne ne reproche à Blast de souhaiter faire connaitre ses idées et ses prises de positions, pourquoi le faire à l’endroit de Vivara?


De plus, Vivara applique dans l’envoi de ses newsletters toutes les prescriptions légales et les meilleures pratiques du domaine de l’envoi d’emails, tels que des liens de désinscription présents dans chaque email envoyé, une désinscription automatique des lecteurs n’ayant pas ouvert une newsletter depuis trois à six mois, ou encore des audits réguliers de ses pratiques par la société Validity, leader mondial dans la lutte contre le spam.


Les lecteurs sont en tout temps libres de ne plus recevoir nos informations s’ils le souhaitent, et ne sont en rien “piégés”, comme le prétend faussement Blast.


Blast veut fabriquer de toutes pièces des narrations, pour intéresser son audience. Mais la réalité en matière d’emailing, hélas, est tout à fait banale. La réalité, c’est que les pratiques vertueuses citées plus haut ne sont pas contournables : 

1/ Nous sommes en 2024, les plateformes techniques des FAI (fournisseurs d’accès internet) sont mûres. Si nous ne respections pas à la lettre les prescriptions, les FAI bloqueraient tout simplement l’envoi de nos emails.

2/ Si nous ne respections pas les souhaits de nos lecteurs (de s’abonner avant de recevoir tout email, ou de se désabonner), nous serions en infraction avec le règlement RGPD. Les amendes sont lourdes. Nous avons pignon sur rue, et les autorités sauraient où nous trouver.



Blast accuse Vivara de “prélever les clients sans leur accord”


C’est évidemment faux.


Vivara accorde une très grande attention à la clarté de ses Conditions Générales de Vente. Lorsqu’un client contracte un abonnement à un produit, il en est informé lors de l’achat (à la fois sur le bon de commande et sur l’email de confirmation de commande). Le client est en outre à nouveau prévenu (par exemple quatre semaines avant le renouvellement de son abonnement si c’est un abonnement annuel) de l’imminence d’un paiement. Il a alors la possibilité de résilier son abonnement, sans frais.


De plus, les conditions d’annulation d’une commande sont particulièrement favorables au client (le plus souvent, remboursement total lors des trois premiers mois d’abonnement à un magazine, puis remboursement au prorata des numéros restants). Des conditions bien plus favorables que ce que pratiquent la plupart des médias d’information.


Parmi nos centaines de milliers de clients, se trouvent nécessairement des clients convaincus de n’avoir pas été prévenus d’un prélèvement à venir. Soit qu’ils ne se souviennent pas avoir souscrit un abonnement avec renouvellement. Soit qu’ils n’aient effectivement pas reçu l’email de rappel de prélèvement. Nous ne remettons pas en cause leur sincérité, et nous n’excluons pas que nous pouvons commettre des erreurs, ou que les plateformes techniques sont faillibles. En revanche, nous réfutons avec la plus grande véhémence qu’il y ait une intention malveillante de notre part.


Il est aisé, pour un journaliste malhonnête, de s’emparer de tels clients sincères, et de généraliser leur propos afin de vilipender toutes les pratiques de l’entreprise.


Enfin, comme dans le cas de l’emailing, il nous serait matériellement impossible de “mal nous comporter” en matière de prélèvements bancaires, car les banques fermeraient simplement nos comptes. Kerinec ne peut ignorer les règles de protection des consommateurs actuellement en place. Elles ne sont pas parfaites, mais déjà très puissantes : la plupart des banques permettent en effet de répudier un paiement, à la première demande et sans justification. La banque récupère l’argent directement sur le compte du commerçant, et facture en surplus des frais (dits de “charge-back”) qui s’élèvent entre 3 et 15 euros selon les cas. Si le taux de charge-back augmente, le compte du commerçant est simplement coupé.


Tout est donc affaire de proportion. Une fois de plus, Moran Kerinec est manifestement de mauvaise foi.




Blast s’émeut que Jean-Marc Dupuis et Vincent Laarman ne fassent qu’un


Ce n’est en rien un secret. L’ensemble des collaborateurs de Vivara est au fait de cette réalité. L’utilisation d’un nom de plume est une pratique très répandue, que de nombreux auteurs ont utilisée au cours des âges. Elle trouve de nombreuses justifications (dans le cas de Vincent, la distanciation au personnage de Jean-Marc Dupuis lui permet de relater plus facilement de nombreuses expériences de vie très personnelles voire intimes).


Cette information est donc de notoriété publique.


D’ailleurs, Vincent Laarman ne s’en cache aucunement, puisqu’il est dirigeant et administrateur (public) de JMD Editions SA, la maison d'édition historique de la Lettre Jean-Marc Dupuis. 




Blast accuse Vivara de diffuser des informations mensongères, dangereuses ou risquées, en se moquant de leur véracité et en “exploitant les peurs et les vulnérabilités des abonnés” (“répandre des théories anti-vaccins”, “certaines sont particulièrement dangereuses”, “la véracité des informations diffusées, elle, est secondaire”, “conseille également des investissements risqués dans les cryptomonnaies”)


Les filiales de Vivara engagent dans leurs rangs des éditeurs et des auteurs issus des meilleures formations universitaires ou professionnelles, au profit d’une légitimité incontestable dans leur domaine: médecins, professeurs, thérapeutes reconnus pour ce qui est du domaine de la santé ; investisseurs à succès, docteurs en économie ou banquiers au bénéfice de dizaines d’années d’expérience dans le domaine de l’investissement ; auteurs ayant publié des dizaines d’ouvrages dans le domaine de l’autonomie ; etc.


Les articles rédigés font systématiquement figurer les sources utilisées pour leur préparation (souvent plusieurs dizaines!). Il est particulièrement cynique de la part de Blast de déclarer que la véracité des informations publiées soit secondaire, alors que c’est précisément tout le contraire. Vivara investit énormément dans ses éditeurs, ses rédacteurs et ses contributeurs pour assurer une qualité éditoriale la plus haute.


De plus, une vision court-termiste construite au mépris des lecteurs serait commercialement contre-productive. Chacun sait qu’un lecteur convaincu et satisfait reste abonné plus longtemps, et rachète de nouveaux produits, ce qui est financièrement profitable pour Vivara. La satisfaction des lecteurs passe par des procédés commerciaux honnêtes et bien compris, par une qualité éditoriale sans faille, et un service client de qualité. C’est ce que Vivara et ses filiales s’efforcent d’offrir à leurs lecteurs, et ce qui assure la pérennité et le succès financier de long terme du groupe.




Blast accuse Vivara de procéder à des licenciements expéditifs avec des procédures vexatoires voire sadiques


Vivara est en permanence à la recherche des meilleurs talents, et investit beaucoup pour leur recrutement, leur accueil (onboarding) et leur formation continue. Tous ces efforts sont réduits à néant lorsque le collaborateur quitte le groupe : la décision de se séparer d’un collaborateur est donc toujours douloureuse, et nos managers assument leur part de responsabilité lorsque cela se produit (erreur de casting, impossibilité de faire monter en compétence, performances et moyens financiers difficiles à anticiper). Licencier est certainement l’acte managérial le plus difficile pour un responsable d’équipe. Dans la plupart des entreprises, ces difficultés tétanisent les managers, qui élaborent toutes sortes de mauvaises raisons pour reporter les décisions, avec des conséquences graves pour l’entreprise (rapports dégradés entre le manager et le collaborateur ; sentiment d’injustice des collaborateurs plus performants, qui fustigent le manque de courage de leur manager ; désorganisation de l’équipe).


Pas de poussière sous le tapis. Nous valorisons une culture de la franchise, dans laquelle les vérités (bonnes ou mauvaises) sont dites, ce qui peut sembler brutal à certains, tant il est difficile d’admettre ses erreurs ou ses limites. Nous avons conscience que cette posture est exigeante, et qu’elle doit s’accompagner de beaucoup de bienveillance. Des efforts importants sont fournis pour faire fonctionner la collaboration, avant de décider si la collaboration demeure possible ou non.


Lorsque la décision est prise, parfois au terme de plusieurs mois de réflexion, elle est exécutée rapidement. Chaque séparation est différente, et tout est fait pour éviter de vexer le collaborateur – aménagement de préavis plus long que ceux prévus au contrat, aide pour retrouver un emploi, lettres de recommandation et mises en relation. Hélas, tout cela est parfois impossible. Par exemple, lorsqu’un collaborateur a accès à des données confidentielles ou des outils sensibles, et que le manager craint une réaction de dépit, il est de sa responsabilité de prévoir une mise à pied immédiate. Ces cas arrivent, ils sont très minoritaires, et imposés par les circonstances. Aussi, il arrive parfois qu’un collaborateur ne fasse pas l’affaire, mais que son manager tente pendant longtemps, et par divers moyens (formations, aménagement de ses responsabilités) de le faire progresser. Cette approche constructive s’accommode mal des nécessaires avertissements précédant un licenciement, ce qui peut provoquer chez le collaborateur de la stupéfaction. Il arrive enfin que les collaborateurs ne comprennent pas que leur poste est en jeu, quand bien même des avertissements à répétition sont formulés.


Chaque séparation est donc différente. Et parfois, elle peut être mal vécue. Il est aisé pour Blast d’entrer en contact, via LinkedIn, avec d’anciens collaborateurs devenus des détracteurs du groupe, et de ne retenir que des témoignages partiaux, en ne présentant évidemment qu’une fraction de la réalité, pour fabriquer de toutes pièces une narration accablante.




Blast accuse Vivara de promouvoir un vase clos entre ses collaborateurs et d’entretenir une emprise psychologique s’apparentant à une secte


Les propos de Blast, ici encore, sont choquants et fallacieux.


L’ouverture d’esprit et la confrontation à des pensées contradictoires est toujours favorisée. A titre d’exemple, Vivara subventionne les programmes de formation en ligne, au choix entièrement libre des collaborateurs, tels que le suivi de MOOC (ex. sur masterclass.com ou tant d’autres). La capacité de prendre du recul et de remettre en cause les idées reçues est un critère de sélection pour toutes les personnes qui rédigent des contenus (ce n’est visiblement pas le cas chez Blast).


Vivara organise usuellement deux évènements par an, l’un en juin afin de réaliser un point sur l’activité du groupe, l’autre en décembre, pour célébrer Noël et la fin de l’année, ce qui est tout à fait commun pour un groupe de la taille de Vivara.


Par ailleurs, des sorties (randonnées, courses d’alpinisme, visites…) peuvent également être proposées, typiquement une à deux fois par an (et pas nécessairement chaque année), et ainsi permettre aux collaborateurs de découvrir ou pratiquer des activités et de créer des liens, chaque collaborateur étant libre de s’inscrire ou non. Dans le cadre de ces évènements, la direction n’a jamais été témoin de débordements ni de propos ou gestes déplacés. Si tel avait été le cas, les mesures adéquates auraient été prises. A l'heure où nous écrivons, un seul incident au cours de la décennie passée a été porté à la connaissance de la direction (incident relaté de la façon la plus trompeuse par Blast) - la procédure dédiée a alors été mise en œuvre immédiatement et le collaborateur sanctionné à proportion des éléments tangibles et prouvés du dossier.




Blast laisse entendre que Vivara entretiendrait un environnement défavorable aux femmes


La proportion de femmes travaillant chez Vivara est comparable à toutes les entreprises du même domaine d’activité : si l’environnement leur était  « toxique », les femmes auraient déserté le groupe depuis longtemps. Une fois de plus, l’accusation de Blast tombe devant les faits.


Il n’existe aucune doctrine machiste, ni patriarcale, ni aux « mœurs anciennes » telle qu’affirmé par Blast. Vivara se fonde uniquement sur les compétences académiques et professionnelles pour le choix et l’évaluation de ses collaborateurs. Les femmes peuvent ainsi exercer leur métier au sein de Vivara sans contrainte aucune, et nombreuses d’entre elles occupent d’ailleurs des fonctions d’encadrement et/ou à responsabilité.


Dans ce cadre, jamais il n’a pu être reproché à une collaboratrice d’être enceinte. Au contraire, les managers se félicitent de l’arrivée d’enfants dans les familles de leurs collaborateurs. Depuis le tout début, des avantages ont toujours été proposés aux jeunes papas et jeunes mamans – qu’il s’agisse d’une prime (de 5'000 CHF par naissance) ou de la prise en charge des aides à domicile en cas de coups durs. Peu d’entreprises proposent de tels avantages. Quel serait l’intérêt de Vivara de les proposer, si l’intention était de licencier les mamans à leur retour de congé maternité ? Cette accusation n’a évidemment aucun sens.


Les collaboratrices bénéficient aussi de nombreux aménagements pendant leur grossesse, pour faciliter leur travail jusqu’à leur arrêt selon avis médical, ainsi qu’après, notamment pour celles qui souhaitaient allaiter. De même, leur situation personnelle avec de jeunes enfants est prise en compte dans le cadre de leur organisation de travail au quotidien.




Blast laisse entendre que Vivara tolèrerait des comportements sexistes, obscènes ou délictueux de la part de ses managers


Les mêmes sources contestables (voir plus haut) sont à l’origine de rumeurs coordonnées selon lesquelles le quotidien des collaborateurs serait émaillé de propos dénigrants ou sexistes, de gestes déplacés, et que régnerait une sorte d’emprise psychologique généralisée. Ces sources visent plus particulièrement un ancien manager de notre groupe.


La direction de Vivara est stupéfaite de ces accusations.


Vivara ne tolère aucun comportement susceptible de porter atteinte à la personnalité de ses collaborateurs. Si des propos ou actes étaient signalés à la direction, ils seraient sanctionnés.


A ce titre, nous rappelons que de multiples procédures RH sont en place, auditées par des tiers externes spécialistes, et examinées par l’Inspection du Travail de Lausanne, notamment dans le cadre de la prévention des risques psychosociaux. Ces procédures permettent aux collaborateurs de Vivara de pouvoir s’informer, être conseillé par des tiers de confiance (qui garantissent leur anonymat) et/ou agir devant une administration ou en justice s’ils en éprouvent le besoin.


Nous rappelons également que l'audit réalisé par la Clinique du Travail, auquel il est fait référence plus haut, nous classe meilleure entreprise en Suisse Romande sur le facteur "Respect et interactions", sur un panel de 120 entreprises / 2'800 collaborateurs audités.


A ce jour, aucune procédure RH n’a jamais été déclenchée, en lien avec les propos relatés par Blast. Kerinec invoque, toujours empli de mauvaise foi, une prétendue “omerta” entretenue par un “management oppressant” : cela est faux et n’a aucun sens, étant donné la multiplicité des voies de recours à disposition des collaborateurs, tant internes qu’externes (auprès des autorités), offrant par ailleurs la possibilité de préserver l’anonymat.


Les détracteurs de Vivara, confortablement protégés par le secret des sources, ont visiblement tenu à Moran Kerinec des propos dévastateurs concernant la prétendue “ambiance toxique” prévalant dans certaines équipes. Il s’agit d’un procès en sorcellerie, qui ne permet aucune défense de notre part, si ce n’est celle qui est la nôtre plus haut : s’il y avait un fond de vérité dans ces affirmations, pourquoi aucune procédure n’a été lancée par l’une des sources en question ?


Avant la publication d’un nouvel article à charge sur ce sujet, Moran Kerinec a adressé une liste de questions orientées à un des managers du groupe, assortie d’un ultimatum. Ce manager a recouru en justice pour faire reporter la publication de l’article le concernant, jusqu’à ce que la lumière soit faite, par la justice, sur le bien fondé ou non des accusations. Les comportements qui lui sont reprochés par Kerinec sont tellement graves, que son honneur serait souillé à jamais par la publication de ce nouvel article.


La justice a donné une suite favorable au manager en question.


Blast a toujours la possibilité d’apporter la preuve au tribunal de la véracité de ses accusations afin d’être autorisé à publier cet article… mais Denis Robert rechigne apparemment à le faire, et préfère incriminer le système judiciaire suisse. Faut-il y voir un dossier fragile, mal construit, peu crédible et à charge ? Il est permis de le penser.


Ainsi Denis Robert s’indigne que la justice suisse ait empêché la publication du nom du manager ciblé. Il noircit des pages d’article à charge contre la Suisse et le déni de démocratie que cette décision représente. Or, la démocratie ne repose-t-elle pas, avant tout, sur l’exercice d’une justice indépendante? Les lois protégeant les citoyens de la calomnie ne sont-elles pas légitimes? Vivrait-on en démocratie, si la presse pouvait, sans aucun contrepouvoir, faire le procès de citoyens présumés innocents, les accusations laissant sur internet des traces indélébiles pour le reste de leur vie?


Par une inversion des responsabilités dont les journalistes de Blast sont coutumiers, les calomniateurs se font passer pour des martyrs de la liberté d’expression.

Pour conclure

Vivara SA fait l’objet depuis trois ans de campagnes de dénigrement actives publiées sur le site de “Blast”, qui se présente comme un média d’investigation “indépendant”.


Indépendant de qui, de quoi, on ne sait pas au juste ce que signifie ce terme, on ne peut que supposer que Blast est dépendant de ses sources, de son directeur Denis Robert, de ses soutiens financiers, de ses lecteurs… Toujours est-il que Blast n’est certainement pas neutre politiquement, s’affichant comme un de ces innombrables sites et médias qui critiquent tout… à partir du moment où il s’agit d’entreprise privée.


On ne trouvera jamais sur Blast en effet de commentaire négatif sur la dégradation catastrophique des conditions de vie des citoyens, la faillite de l’école, la détresse de la justice, la violence montante, le désespoir des populations des grandes villes, mais aussi plus récemment des villes moyennes et même des petites villes et des campagnes, face à la saleté, à l’insécurité, à la montée des prix, à la prédation fiscale, aux abus des grèves et autres blocages permanents qui démolissent inexorablement la France.


Non, le vrai ennemi pour Blast, les hommes à abattre, ce sont les personnes qui travaillent, créent des entreprises, des emplois… et en particulier ceux qui ont le malheur de réussir.


Les “idéaux politiques” délirants des fondateurs de Blast, qui ne se cachent pas d’appartenir au même camp que les pires exterminateurs de l’histoire (Trotsky, Lénine, Mao, Staline), celui de l’extrême-gauche marxiste, cachent mal leur véritable motivation qui est celle de la jalousie extrême, renforcée par la situation économique désastreuse dans laquelle ils se trouvent, et qui les conduit à rogner toujours plus sur les rémunérations et les conditions de travail de leurs collaborateurs.


Être attaqué par Blast, et par des journaux analogues, fait partie des conditions que l’on n’a pas d’autre choix que d’accepter lorsqu’on prend le risque de créer une entreprise. Et plus encore, lorsque cette entreprise est active dans le domaine des médias et d’Internet, et qu’elle réussit.