À propos des articles négatifs sur Vivara, émanant d’une certaine presse française

Osons le dire, Vivara et ses sociétés ont des relations contrariées avec les médias classiques. Nos sociétés sont régulièrement l’objet d’attaques virulentes de leur part, et ce, pour plusieurs raisons.

Le fondateur de Vivara

Vincent Laarman, français, diplômé ESCP (2000), s’est investi dans plusieurs débats de société sur l’éducation et la justice, via des associations militantes que la presse a vilipendées avec rage. Il fait partie de ces personnalités qui avaient été bannies par la « Cancel Culture » dès les années 2000, avant même que l’expression ne soit consacrée. 


Vincent relate son parcours, et les défis que les condamnations médiatiques ont imposés à sa famille, ses proches et lui, dans sa lettre « Comprendre » que vous trouverez ici. https://partager.io/publication/comprendre/post/1852


Qualifié par la presse “d’ultralibéral tendance Reagan”, “proche des évangélistes américains”, mais aussi de la “droite de la droite” française, il a écrit un texte où il présente ses convictions politiques : https://partager.io/publication/comprendre/post/1845


Ce texte n’est pas destiné au grand public (qui n’est pas concerné par ses opinions), mais plutôt aux journalistes qui expliquent dans leurs colonnes ce que Vincent est supposé penser - dans leur esprit.


Harcèlement crescendo


Sur la base de sa mauvaise réputation et de ses idées réputées déplaisantes, Vincent s’est vu accusé des pires forfaits, dont certains relèveraient du code pénal s’ils avaient été avérés (vol, arnaques, escroqueries en tout genre). Les associations qu’il a fondées ont fait l’objet d’un harcèlement administratif continu (fisc, URSSAF, Inspection du travail, CNIL, renseignements généraux…), jusqu’à une mission “commando” de la Cour des Comptes (la plus haute instance française pour le contrôle des associations à but non lucratif).


Cette mission de la Cour des Comptes, au sein de l’association SOS Education, est intervenue cinq ans après le départ de Vincent Laarman de l’association (qu’il avait pourtant quittée en 2012). Elle a duré quatre ans, et a débouché sur un rapport incendiaire à l’automne 2021, dont la “cellule investigation” de Radio-France a publié sur les ondes les passages les plus infamants, où il est question de lingots d’or qui auraient disparu - puis réapparu - des coffres de l’association.


Au bout du compte, et malgré l’accumulation d’anecdotes au conditionnel, aucune irrégularité, aucun détournement, aucun abus de Vincent, pas même une note de frais contestable, n’ont pu être trouvés par les contrôleurs, qui ont pourtant passé au peigne fin tous les documents, factures, emails émis ou reçus par l’association depuis les premières heures de son activité en 2001. Vincent n’a évidemment fait l’objet d’aucune plainte, aucune procédure et, à l’heure où nous écrivons (mercredi 13 décembre 2023), il n’a jamais fait l’objet d’aucune condamnation pénale, à titre professionnel ou privé. Il n’a, enfin, connaissance d’aucune procédure actuellement ouverte contre lui, ou qui menacerait de démarrer.


Cela n’empêche nullement la presse hostile de continuer à le présenter, dans des articles sensationnalistes aux relents complotistes, comme à la tête d’un vaste réseau quasi-criminel.


Plie mais ne rompt pas


Comment survivre à de telles pressions ? Plutôt que de perdre du temps et de l’énergie à répondre ou discuter avec des personnes convaincues d’avance de sa culpabilité, Vincent a su faire succéder, à chaque attaque, de nouvelles initiatives dans ses domaines d’expertise. Retournant la mauvaise énergie envoyée par des commentateurs critiques, en énergie positive tournée vers l’action, il n’a jamais cessé de bouillonner d’initiatives dans une myriade de nouveaux projets, la plupart ayant connu des succès florissants.


Les accusations de la presse ont agi tôt, sur lui, comme un stimulant, autant que comme un rappel permanent que la vie est un combat, dans lequel les personnes malintentionnées chercheront à chaque instant à vous faire trébucher, surtout si vous réussissez. Cette claire conscience l’a poussé à s’entourer, en toutes circonstances, d’excellents professionnels, et à prendre toutes les précautions nécessaires, sachant que, s’il commettait le moindre faux pas… on ne le raterait pas. Son casier judiciaire est immaculé.


Aujourd'hui, Vincent est actionnaire de Vivara et, en tant que tel, il définit la stratégie long terme de développement du groupe. Il intervient dans les situations de crise, ou à forts enjeux de valeur. Il s’investit également dans des projets entrepreneuriaux en dehors de Vivara. Avec clairvoyance, il partage ses morceaux de vie et son expérience avec tous collègues ou proches qui désirent connaître son point de vue, sans le déformer (donc sans passer par des interprètes médiatiques peu rigoureux).


Travailler à ses côtés est un privilège, et ceux qui n’ont pas cette chance peuvent commencer par lire ses ouvrages - sa lettre « Jean-Marc Dupuis », son livre (un ouvrage de 900 pages environ) « Mes conseils pour une vie sereine », ou simplement consulter les articles de sa lettre personnelle « Comprendre ».

La nature du business model de Vivara

Le business model de Vivara agace, d’abord parce qu’il ne dépend d’aucun intermédiaire, plateforme, partenaire média ou industriel, capable de lui imposer une régulation officielle ou officieuse : il consiste à s’adresser directement aux audiences par e-mail, sans intermédiaire, donc sans possibilité aucune de censure.


Osons une comparaison, tout à fait immodeste, avec X (anciennement Twitter) et l’approche d’Elon Musk, devenu le paria des médias et de l’establishment depuis qu’il s’est permis certaines libertés.


Vivara favorise l’essor de “red pill” médias. Ses sociétés sont libres d’y tenir des tribunes qui, jamais, ne seraient publiées dans des médias mainstream de plus en plus corsetés par la bien-pensance.


Vivara est l’avenir de la presse. Les lecteurs ont besoin d’auteurs indépendants qui « parlent vrai », en qui ils ont confiance, et dont ils savent qu’ils ne sont pas censurés par un comité de rédaction soumis à des intérêts bancaires ou à la pression des multinationales et des gouvernements. La presse traditionnelle ne peut pas leur offrir cela. Comme Substack aux Etats-Unis, Vivara offre de telles tribunes, libres, à ses auteurs, ce qui est à la fois une raison de son succès, et un motif du désamour de la presse traditionnelle à son égard.

Les attaques de Blast

Un média en particulier harcèle Vivara, Publishing Factory et d’autres sociétés du groupe de façon répétée depuis plusieurs années : il s’agit du site Blast, à qui la direction de Vivara adresse une réponse que vous trouverez sous ce lien.